Voir quelqu'un que vous aimez combattre un trouble lié à l'usage de substances peut-être extrêmement pénibles et nuire considérablement à votre bien-être mental et émotionnel. Que le toxicomane soit un ami proche, un conjoint, un parent, un enfant ou un autre membre de la famille, il est facile que sa dépendance prenne le dessus sur votre vie. Cela peut accumuler stress sur stress, tester votre patience, et vous laisser submerger par des sentiments de culpabilité, de honte, de colère, de peur, de frustration et de tristesse. Qu'il s'agisse de substances illégales ou de médicaments sur ordonnance, vous ne pouvez forcer personne à cesser d'abuser de drogues. Mais il existe des moyens de soutenir leur rétablissement.

Comprenez la toxicomanie de votre proche

Vous cherchez à trouver comment aider un toxicomane car ce dernier est un proche. Vous vous inquiétez de l'endroit où se trouve votre proche à un moment donné, de son risque de surdosage ou des dommages qu'il cause à sa santé, à son avenir et à sa vie familiale. Donc, comment aider un drogué ? Comment peut-on comprendre sa toxicomanie?

Une personne commence à consommer de la drogue pour de nombreuses raisons différentes. Beaucoup se tournent vers des substances pour faire face à la douleur émotionnelle d'un problème de santé mentale, comme la dépression ou l'anxiété et utilisent des substances nocives pour gérer des symptômes spécifiques. D'autres personnes se tournent vers la drogue pour changer ce qu'elles ressentent, pour s'intégrer ou pour atténuer l'ennui ou l'insatisfaction à l'égard de leur vie. Ensuite, il y a ceux dont la toxicomanie se développe à la suite des efforts bien intentionnés d'un médecin pour traiter une condition médicale. De toutes les personnes auxquelles des opioïdes ont été prescrits pour soulager la douleur, par exemple, les estimations suggèrent que plus d'un quart finira par abuser du médicament ou de drogue à effet identique.

Comprenez la toxicomanie de votre proche équivaut à comprendre sa personne, sa dépendance. Pour d’amples explications, obtenez plus d’informations.

Reconnaissez la toxicomanie chez un proche

Il n'est pas toujours facile de reconnaître la consommation de la drogue d’un proche. Chez les adolescents, par exemple, l'abus de drogues peut souvent ressembler à des sautes d'humeur normales. De plus, il n'y a pas de quantité ou de fréquence spécifique d'utilisation qui indique que la consommation de drogue d'une personne est devenue une source de préoccupation. Que votre proche consomme tous les jours où tous les mois, c'est l'impact négatif de son abus de drogue sur sa vie qui indique un problème.

Les signes de trouble lié à l'utilisation de substances sont parmi : premièrement, avoir des problèmes au travail, à l'école ou à la maison. Ils semblent élevés plus souvent, par exemple, et prennent plus de jours d'absence du travail ou de l'école pour compenser. Leur rendement au travail où leurs notes scolaires en souffrent.

Ensuite, de nouveaux problèmes de santé, tels que des changements dans l'horaire de sommeil, semblant souvent fatigués ou épuisés, une perte ou un gain de poids prononcé, des yeux vitreux ou injectés de sang, des oublis ou d'autres problèmes cognitifs.

Enfin, des changements dans leur humeur et leur comportement. Votre proche peut être plus secret et mentir sur ce qu'il fait. Ils peuvent être prompts à se mettre en colère ou à se déchaîner, surtout si vous essayez de leur parler de leur consommation de drogue. Les consommateurs de drogue se désintéressent souvent de leurs anciens passe-temps, deviennent plus maussades et tristes.

Aidez un proche à raccrocher

La question comment aider un toxicomane ne peut se répondre que par l’aide que vous pouvez apporter contre son addiction et les actions pour son proche consommateur.

Premièrement, la manière de parler de sa consommation de drogue. Ne tardez pas. Exprimez honnêtement vos préoccupations. Écoutez bien. Offrez-lui des informations. Soyez prêt pour le déni. Évitez d'essayer de sermonner, de menacer, de soudoyer ou de punir la personne. Etre patient car les conversations peuvent être nombreuse. Deuxièmement, l’accompagnement du rétablissement de sa dépendance. Enfin, l’établissement des limites saines et des limites financières.